Qu'est-ce que l'AIT vous apporte ?
La main d'œuvre d'aujourd'hui affronte des défis nécessitant des compétences pratiques et un assortiment d'expériences pour pouvoir s'adapter à un marché du travail fluctuant. En participant à des opportunités d'Apprentissage intégré au travail (AIT), vous allez découvrir de différentes expériences et de différents milieux de travail. À travers ces formations, vous bâtirez votre portfolio de compétences et de contacts pour mieux vous préparer aux défis de la vraie vie et pouvoir demeurer concurrentiel dans votre recherche de travail.
Le mentorat est en train de devenir l'un des éléments les plus critiques pour faire progresser les opportunités d'AIT de qualité au Canada. Il existe de nombreux avantages pour le mentoré, le mentor et pour les organisations qui encouragent le mentorat. Mais les employeurs de partout au Canada disent qu'il n'y a pas suffisamment de soutien lorsqu'il s'agit de former leur personnel pour qu'il ait les compétences nécessaires pour encadrer et encadrer les jeunes employés.
On appelle parfois certains programmes d’apprentissage intégré au travail des « micro-
programmes d’AIT ». Il s’agit généralement d’un programme qui, comme le projet de recherche
appliquée et le stage d’observation, a une durée inférieure à une session universitaire (moins
de quatre mois). Ces courtes expériences d’AIT exposent l’étudiant.e aux réalités et contraintes
du marché du travail, mais sont moins immersives qu’une expérience à temps plein comme le
stage, le cheminement coopératif ou la formation d’apprenti.
Votre établissement postsecondaire a peut-être un portail d’emploi ou un site Web qui énumère les emplois pour étudiants offerts dans votre collectivité. Chaque province et territoire, tout comme le gouvernement fédéral, a un babillard d’emplois accessible à tous. Vous y trouverez des emplois dans toutes les sphères d’activité, du secteur privé comme du secteur public.
Vous pouvez également consulter les sites d’emploi institutionnels les plus populaires comme Indeed, Workopolis et Glassdoor. Jetez un coup d’œil aussi sur LinkedIn, où vous pouvez créer votre profil pour postuler directement à des emplois ou réseauter avec des recruteurs.
À l’aide de la lettre de présentation, vous tenterez de convaincre l’employeur que vos compétences et qualifications correspondent à ses besoins. Essentiellement, vous répondrez aux questions suivantes :
- Que voulez-vous apprendre à l’employeur à votre sujet et sur vos expériences?
- Pourquoi souhaitez-vous travailler pour cette organisation et occuper ce poste?
- Pourquoi l’organisation devrait-elle vous embaucher?
La lettre de présentation doit tenir sur une page et être adaptée à chaque poste, employeur et secteur d’activité que vous visez. Pour la personnaliser, montrez que vous connaissez l’organisation et indiquez en quoi vos compétences et expériences peuvent aider l’organisation à accomplir son mandat.
À noter : Faites quelques recherches pour trouver à qui adresser votre lettre de présentation. Ce petit effort témoignera de votre volonté d’en faire plus et contribuera à vous démarquer des candidats ayant soumis des lettres plus génériques.
Pour obtenir un guide complet, avec modèles et exemples, voir le Guide sur le CV et la lettre de présentation de l'UQAM.
Le CV (curriculum vitae) vise tout d’abord à vous obtenir une entrevue avec l’employeur. Il faut respecter deux principes : la concision et un formatage adéquat. Normalement, un CV compte une à deux pages (si vous avez peu d’expérience, limitez-vous à une page); vos études et vos expériences de travail y sont présentées dans l’ordre chronologique inverse (le plus récent en premier). Dans la description de l’expérience professionnelle, utilisez des puces pour énumérer vos réalisations (qualitatives et quantitatives). Chaque puce consiste en une phrase complète, contenant des mots d’action avec le résultat de cette action.
Sections à considérer (l’ordre peut varier) :
- Études
- Expériences de travail
- Expériences de bénévolat
- Projets personnels
- Compétences
- Loisirs et activités parascolaires
- Récompenses
Pour obtenir un guide complet de rédaction d’un CV, assorti de modèles et d’exemples, voir le Guide sur le CV et la lettre de présentation par l'UQAM.
La principale différence entre le cheminement coopératif et l’expérience de travail est la relation entre l’employeur et l’établissement d’enseignement. Le cheminement coopératif est habituellement mieux structuré et permet, dans le cadre d’une relation de longue durée, un échange rétroactif entre l’entreprise et l’université ou le collège. Les employeurs peuvent influencer le cheminement en commentant le rendement de l’étudiant.e. Les programmes coopératifs – y compris ceux accrédités – fournissent aux employeurs une feuille de route pour mettre en œuvre un programme d’AIT dans leur organisation; ils prévoient aussi des évaluations et des commentaires structurés de même que des lignes directrices claires pour l’embauche.
Ce ne sont malheureusement pas tous les établissements postsecondaires qui offrent un cheminement coopératif ou un programme de stages. L’expérience de travail est un type d’AIT qui contribue à combler ce manque. L’employeur, dans ce cas, profite d’une plus grande souplesse (délais, évaluation des étudiants, dates de début et de fin), mais ne bénéficie en revanche que d’un soutien limité, sans avoir de feuille de route précise.
Puisque ces deux formes d’apprentissage intégré au travail sont parfois utilisées sans distinction par les universités, elles peuvent être difficiles à différencier.
Ce qui différencie généralement le cheminement coopératif du stage est l’alternance travail-études du premier. En effet, l’étudiant.e qui suit un cheminement coopératif pourrait faire, pendant son parcours scolaire, trois placements travail-études ou plus dans des entreprises ou organismes différents, les attentes à son égard augmentant à chaque nouveau placement. Le stage, quant à lui, n’est pas récurrent : le parcours scolaire n’en contient d’ordinaire qu’un seul. Un stage peut durer de 12 à 16 mois, et l’étudiant.e gagne graduellement en aise tout en assumant de plus en plus de responsabilités.
Cela dit, certains programmes coopératifs se rapprochent du stage, puisqu’ils amènent les étudiants à effectuer plusieurs séjours consécutifs dans la même entreprise. Au Canada, l’organisme sans but lucratif Enseignement coopératif et apprentissage en milieu de travail (ECAMT) accrédite les cheminements coopératifs qui respectent ses critères.
Un aperçu aux FAQs
Le CV (curriculum vitae) vise tout d’abord à vous obtenir une entrevue avec l’employeur. Il faut respecter deux principes : la concision et un formatage adéquat. Normalement, un CV compte une à deux pages (si vous avez peu d’expérience, limitez-vous à une page); vos études et vos expériences de travail y sont présentées dans l’ordre chronologique inverse (le plus récent en premier). Dans la description de l’expérience professionnelle, utilisez des puces pour énumérer vos réalisations (qualitatives et quantitatives). Chaque puce consiste en une phrase complète, contenant des mots d’action avec le résultat de cette action.
Sections à considérer (l’ordre peut varier) :
- Études
- Expériences de travail
- Expériences de bénévolat
- Projets personnels
- Compétences
- Loisirs et activités parascolaires
- Récompenses
Pour obtenir un guide complet de rédaction d’un CV, assorti de modèles et d’exemples, voir le Guide sur le CV et la lettre de présentation par l'UQAM.
À l’aide de la lettre de présentation, vous tenterez de convaincre l’employeur que vos compétences et qualifications correspondent à ses besoins. Essentiellement, vous répondrez aux questions suivantes :
- Que voulez-vous apprendre à l’employeur à votre sujet et sur vos expériences?
- Pourquoi souhaitez-vous travailler pour cette organisation et occuper ce poste?
- Pourquoi l’organisation devrait-elle vous embaucher?
La lettre de présentation doit tenir sur une page et être adaptée à chaque poste, employeur et secteur d’activité que vous visez. Pour la personnaliser, montrez que vous connaissez l’organisation et indiquez en quoi vos compétences et expériences peuvent aider l’organisation à accomplir son mandat.
À noter : Faites quelques recherches pour trouver à qui adresser votre lettre de présentation. Ce petit effort témoignera de votre volonté d’en faire plus et contribuera à vous démarquer des candidats ayant soumis des lettres plus génériques.
Pour obtenir un guide complet, avec modèles et exemples, voir le Guide sur le CV et la lettre de présentation de l'UQAM.
La première chose à considérer est de savoir si vous répondez aux exigences « fondamentales ». Si oui, il vaut la peine de postuler. Ensuite, déterminez si vous êtes capable et désireux d’acquérir par vous-même les autres compétences. Même s’il vous manque une compétence obligatoire, l’employeur pourrait être incité à vous donner une chance s’il constate que vous savez comment combler cette lacune. N’oubliez pas que vous ne savez pas qui d’autre a postulé pour ce poste, et vous n’avez donc rien à perdre en tentant votre chance.
Curriculum vitae :
Tout d’abord, une expérience professionnelle sans lien avec le poste reste une expérience professionnelle; elle montre que vous avez rendu compte à un superviseur, travaillé au sein d’une équipe et suivi un horaire de travail. Ces expériences passées vous ont permis d’acquérir des compétences que vous pouvez mettre en valeur pour le poste pour lequel vous postulez. Par exemple, les compétences humaines telles que la communication et le travail d’équipe s’avèrent toujours pertinentes.
D’autres compétences peuvent provenir de différentes types d’expériences :
- Expérience de bénévolat → acquisition de compétences générales dans un cadre s’apparentant à un milieu de travail, travail d’équipe, etc.
- Études → cours pour lesquels vous avez rédigé des dissertations et perfectionné vos compétences en rédaction et en communication; laboratoires où vous avez perfectionné vos habiletés de recherche et d’analyse, etc.
- Projets personnels → création de sites Web ou d’applications, blogue, balados, etc.
Lettre de présentation :
La lettre de présentation permet de vous mettre en valeur et de souligner comment vos expériences, pertinentes ou non, vous ont inculqué les compétences nécessaires pour exceller dans le poste convoité. Puisez dans vos expériences de travail et de bénévolat, vos études et vos projets personnels décrits dans votre CV, en n’oubliant pas de les relier au poste visé et d’expliquer comment ils font de vous un.e excellent.e candidat.e. En outre, montrer votre connaissance de l’organisation, pour illustrer votre intérêt pour le poste, contribuera également à vous distinguer.
Votre établissement postsecondaire a peut-être un portail d’emploi ou un site Web qui énumère les emplois pour étudiants offerts dans votre collectivité. Chaque province et territoire, tout comme le gouvernement fédéral, a un babillard d’emplois accessible à tous. Vous y trouverez des emplois dans toutes les sphères d’activité, du secteur privé comme du secteur public.
Vous pouvez également consulter les sites d’emploi institutionnels les plus populaires comme Indeed, Workopolis et Glassdoor. Jetez un coup d’œil aussi sur LinkedIn, où vous pouvez créer votre profil pour postuler directement à des emplois ou réseauter avec des recruteurs.
Le travail à domicile exige des compétences différentes de celles que commande le travail dans un bureau. Travailler à la maison signifie avoir moins de supervision de la part du supérieur direct, ce qui nécessite de bonnes aptitudes à la gestion du temps et de soi. Montrez que vous êtes capable de travailler avec peu de supervision et de gérer efficacement votre temps pour respecter les délais. La communication devient également très importante; votre superviseur doit savoir que vous communiquerez clairement quand vous aurez besoin d’aide ou quand vous souhaiterez qu’on vous confie plus de travail.
Pour un complément d’information, voir le Guide de télétravail de l’Université St. Thomas.