RBC a publié, en collaboration avec la Fondation canadienne pour le développement de carrière, un nouveau livre blanc intitulé Programme Lancement de carrière RBC : Recommandations des candidats au programme Lancement de carrière RBC pour faciliter la transition études-travail. On y lit que les nouveaux diplômés ont besoin de plus de soutien de la part des entreprises, des écoles et de l’État pour réaliser leur plein potentiel sur le marché du travail.
RBC veut écouter les préoccupations des jeunes, poursuivre cette discussion importante et honorer son engagement à contribuer à la réussite des clients et à la prospérité des collectivités.
RBC veut écouter les préoccupations des jeunes, poursuivre cette discussion importante et honorer son engagement à contribuer à la réussite des clients et à la prospérité des collectivités.
Selon l’étude fondée sur plus de 1 350 candidatures sélectionnées au hasard parmi les quelques 5 800 que RBC a reçues depuis le début du programme Lancement de carrière RBC, 99 % des nouveaux diplômés ont déclaré avoir au moins une expérience de travail et 93 % ont au moins une expérience de bénévolat.
Cependant, ils se sentent quand même coincés dans le cercle vicieux « pas d’expérience, pas d’emploi ». Les candidats estiment que leur manque d’expérience de travail pertinente nuit à leur recherche d’emploi, mais qu’il leur est impossible de combler cette lacune si aucun employeur ne leur donne une chance. Ils affirment faire leur possible pour se préparer à entrer sur le marché du travail, mais qu’il leur est impossible de modifier les pratiques d’embauche des employeurs.
Ils réclament des solutions axées sur :
- La collaboration – Davantage de collaboration entre les entreprises, les écoles, les gouvernements et les jeunes pour soutenir la transition études-travail.
- Plus d’occasions d’acquisition d’expérience de travail – Apprentissage intégré au travail, expériences de travail avant et après l’obtention du diplôme, et autres rôles de niveau d’entrée.
- De meilleures relations – Liens avec le marché du travail : employeurs, employés et associations professionnelles.
« Cette étude donne la parole aux jeunes, affirme Donnalee Bell, chercheuse en chef et directrice des opérations de la Fondation canadienne pour le développement de carrière. Les nouveaux diplômés interrogés sont très clairs : ils veulent des solutions. Le temps est venu de collaborer pour trouver des solutions efficaces qui font appel à toutes les parties prenantes, y compris les jeunes. Nous devons apporter des changements qui leur permettront d’être mieux préparés à travailler. »
Les jeunes qui ont participé à cette étude ont aussi demandé de meilleurs services d’orientation professionnelle, y compris dans les écoles publiques et les établissements d’enseignement postsecondaire, ainsi qu’une meilleure sensibilisation aux compétences en demande sur le marché du travail. Les candidats ont aussi souligné que leur dette étudiante était un frein à leurs possibilités d’emploi. Les étudiants endettés ont ajouté qu’ils étaient désavantagés au chapitre de la concurrence pour les emplois parce qu’ils se sentaient contraints d’accepter un sous-emploi pour rembourser leur prêt.
« Les jeunes Canadiens ont de la difficulté à faire la transition entre les études et le travail. La formation professionnelle et l’expérience sont cruciales puisqu’elles créent des conditions propices à la réussite, et nous en bénéficions tous, rappelle Zabeen Hirji, chef des ressources humaines de RBC. L’état d’esprit orienté vers les solutions des jeunes au cœur de notre étude m’inspire. Nous croyons que les jeunes ont tout intérêt à contribuer à façonner l’avenir, et nous savons que c’est ce qu’ils entendent faire. »
À RBC, nous pensons aussi qu’en aidant les jeunes à révéler leur potentiel et à lancer leur carrière, nous leur permettrons de s’assurer un meilleur avenir et de bâtir un pays prospère.
« Cette étude donne la parole aux jeunes afin d’alimenter les discussions essentielles au sujet de leur avenir, indique Susan Uchida, RBC Services d’apprentissage. Nous devons les mobiliser, nous pencher davantage sur leurs expériences collectives et individuelles, et continuer de leur demander comment ils vivent le passage des études au marché du travail et comment nous pouvons les y aider. »
Les jeunes interrogés dans le cadre de cette étude ne s’attendaient pas à ce que l’on résolve ces problèmes à leur place. Ils conseillent à leurs pairs :
- d’acquérir de l’expérience
- de rester positif
- de faire preuve de résilience
- de modérer leurs attentes et de garder l’esprit ouvert par rapport aux occasions.